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Etzenberger Frérs (Etzenberger Brothers)
Watchmaker's Lathe

Built in the Swiss town of La Chaux-de-Fonds, in the canton of Neuchâtel in the Jura  mountains a few kilometres south of the French border, the Etzenberger Frérs is an unusual lathe. Displaying the usual decorative forms and fine mechanical finish so typical of its type, the lathe resembled a set of very large "turns" -but with a complete, heavily constructed headstock carrying a 3-step pulley for drive by a round belt. As displayed, the lathe is not the wrong way round, but arranged for "left-hand" working, a set-up popular amongst some European watchmakers. A novel feature - perhaps unique - was the use of a rack-and-pinion driven tool holder, this being carried on a solid steel bar sliding through a pair of brackets on the front face of the headstock. In addition a second bar, parallel to the first, was arranged to pass down the headstock spindle, both being moved simultaneously by a 3-spoke handwheel set to the right. This odd arrangement, together with the very short travel, perhaps 50 mm or so, suggest that this might have been a lathe constructed for some special production purpose in a watch or clock factory. The lathes design, together with the use of an acid-etched, ink-filled badge in brass to carry the maker's name, indicates a machine constructed during the late 19th century into the early 20th. This confirmed by a lineage advertisement that appeared in
l'Impartial, a daily newspaper in la Chaux-de-Fonds, dated 17 May 1910
"
Looking for a young boy to run errands between school hours.  Contact 13 rue Jaquet-Droz, MM Etzensberger freres." A "commissionnaire" would probably have been a glorified errand boy.

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Etzenberger Frérs (Frères Etzenberger)
Lathe de l'horloger


Construit dans la ville suisse de La Chaux-de-Fonds, dans le canton de Neuchâtel, dans les montagnes du Jura, à quelques kilomètres au sud de la frontière française, le tour Etzenberger Frérs est un tour inhabituel. Présentant les formes décoratives habituelles et la fine finition mécanique si typique de son type, le tour ressemble à un ensemble de très grands "tours" - mais avec une poupée complète, lourdement construite, portant une poulie à trois étages pour l'entraînement par une courroie ronde. Tel qu'il est présenté, le tour n'est pas à l'envers, mais disposé pour travailler à gauche, une configuration populaire chez certains horlogers européens. Une nouveauté - peut-être unique - est l'utilisation d'un porte-outil à crémaillère, monté sur une barre d'acier solide glissant dans une paire de supports sur la face avant de la poupée. En outre, une deuxième barre, parallèle à la première, était disposée pour passer le long de la broche de la poupée, les deux étant déplacées simultanément par un volant à trois branches placé à droite. Cette disposition étrange, ainsi que la course très courte, d'environ 50 mm, suggèrent qu'il pourrait s'agir d'un tour construit pour une production spéciale dans une usine de montres ou d'horlogerie. La conception du tour, ainsi que l'utilisation d'un badge en laiton gravé à l'acide et rempli d'encre pour porter le nom du fabricant, indiquent qu'il s'agit d'une machine construite à la fin du 19e siècle et au début du 20e. Cette information est confirmée par une annonce de lignée parue dans
l'Impartial, un quotidien de la Chaux-de-Fonds, datée du 17 mai 1910
"Recherche un jeune garçon pour faire des courses entre les heures d'école.  Contact 13 rue Jaquet-Droz, MM Etzensberger frères". Un "commissionnaire" aurait probablement été un garçon de courses glorifié.


From an lineage advertisement in
l'Impartial, a daily newspaper in la Chaux-de-Fonds, dated 17 May 1910
"
Looking for a young boy to run errands between school hours.  Contact 13 rue Jaquet-Droz, MM Etzensberger freres." A "commissionnaire" would probably have been a glorified errand boy.